Mon matériel, suite
"L'encre de Chine", appelée "encre indienne" dans les pays anglo-saxons, est une composante vitale de l'outillage du dessinateur. Une encre de qualité doit être opaque, d'un noir profond, résistante aux ultraviolets, de bonne consistance (ni trop épaisse, nit trop liquide), et indélébile.
De gauche à droite, l'encre pébéo grand modèle, la même en petite bouteille, l'encre Majuscule et l'encre Pélikan. La Pébéo et la Pélikan sont les seules encres (que je possède) qui résistent à tout et notamment à l'eau en quantité (pour les lavis, les encres de couleur ou aquarelles).
Vaut-il mieux acheter une grande ou une petite bouteille ? La discussion est lancée, sachant que, comme pour le débat qui fait actuellement fureur sur d'autres blogs entre cafetière-filtre et cafetière-à-pastilles, je préconise les deux. En effet, la grande servira à remplir la petite quand celle-ci viendra à manquer...
Petite astuce qu'un auteur de BD professionnel (dont je ne dévoilerai pas le nom) m'a transmis : pour diluer l'encre de Chine, il vaut mieux utiliser de l'eau déminéralisée que de l'eau du robinet, cela évite les "zones" d'encre sur la feuille...
Petit jeu : devinez quelle encre j'utilise le plus ?
PS : Avant que j'oublie... Bon vote pour dimanche à tous et à toutes !